Karine Gatelier, France, novembre 2017
Bibliographie : La prise de parole peut-elle émanciper de la position victimaire ?
- Michel Agier, La condition cosmopolite. L’anthropologie à l’épreuve du piège identitaire, Paris, La Découverte, 2013 
- Michel de Certeau, La prise de parole et autres écrits politiques, édition établie et présentée par Luce Giard, Seuil, Paris, 1994 
- Vincent Grégoire, « Migrants et réfugiés, ou la reconnaissance comme tri », Sens-Dessous 2008/2 (N° 4), p. 67-79 
- Henri Lefebvre, Le droit à la ville, Economica, coll. Anthropologie, 3e édition, 2009 
- Marie Meudec, « Anthropologie et blanchité », Revue Raisons sociales, Janvier 2017 
- Oskar Negt, L’espace public oppositionnel, Payot, Paris, 2007 
- Alexander Neumann, « Oskar Negt, L’espace public oppositionnel », Variations [En ligne], 9/10 | 2007, mis en ligne le 01 décembre 2012, consulté le 02 octobre 2016. URL : variations.revues.org/489 
- Daniel Veron, « Quand les sans-papiers prennent la parole », Variations [En ligne], 18 | 2013, mis en ligne le 31 mai 2013, consulté le 27 juin 2015. URL : variations.revues.org/641 
- Daniel Veron, « Sans-papiers : d’un quotidien tactique à l’action collective », Variations [En ligne], 13/14 | 2010, mis en ligne le 01 février 2012, consulté le 30 septembre 2016. 
- URL : variations.revues.org/182 ; DOI : 10.4000/variations.182 
- Jacques Rancière, « La scène révolutionnaire et l’ouvrier émancipé : 1830-1848 », Tumultes, n°20, 2003 
Fiches associées
- Fiche d’expérience : La prise de parole peut-elle émanciper de la position victimaire ? - À partir des expériences des ateliers radiophoniques et de la table ronde « Chez nous c’est chez vous. Les usages de la ville comme espace politique » - Karine Gatelier, France, novembre 2017 

 

 
 